Plonger.
Vivre une autre vie sous l’eau.
Là où les
poissons gardent leurs distances
Là où règne le vrai silence.
Tout est
parfaitement incroyable.
Des heures
passées en ma propre compagnie muette.
Ne sortir
que pour apprécier le crépuscule furtif,
La fin d’un
monde.
Je n’attends
plus aucun secours de la part des psychologues. Inutile qu’ils viennent
balancer du pesticide dans mon jardin secret. Je connais la nature de mon
problème : j’aime trop le genre humain, et la plupart des hommes ne le
mérite pas.
Le poète
meurt, mais ne se rend pas.
Moi, la
marine française, je lui dis MERDE.
Julius Marx
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