mardi 11 avril 2017

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Je suis loin, très loin, de la France. Pourtant, sans que je sois capable d’expliquer pourquoi, une irrésistible envie, un besoin maladif, me poussent à m’intéresser encore au pays où je suis né.  Actualités, tristes rumeurs ou vulgaires pantomimes ; rien, ou presque, ne m’échappe. Et puis, en appuyant sur la touche qui fait disparaître l’image après quelques minutes, je jure de ne plus jamais retomber dans ce dangereux rituel.

La plupart des hommes politiques ont une très mauvaise réputation. Pourtant, il faut bien admettre qu’ils sont les seuls à encore sacrifier à la tradition, les tout derniers à respecter cette coutume désuète du 1 er Avril.

Les français sont moroses. Plutôt que l’Etat d’urgence, il leur faudrait d’urgence un Etat.

Je ne suis pas le genre d’homme qui garde toujours ses pointes d’asperges pour les déguster plus tard. La vie est un banquet qui ne s’éternise pas, alors je commence toujours par le dessert.


Plus de soixante ans maintenant, et toujours pas d’exploit ! Même les résultats de mes analyses sanguines ne sortent pas de la moyenne.

Julius Marx

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